Quand la douceur rime avec candeur

Ce qui devait être une prestation sur le parvis de L’Église Sainte-Famille de Granby comme spectacle de clôture de la 57ième édition du FICG c’est plutôt métamorphosé en concert intimiste dans le foyer du Palace de Granby. Mère Nature en a décidé autrement. Pour les chanceux qui ont pu se dénicher une place parmi les 150 offertes aux premiers arrivés, ils ont pu savourer une parenthèse de douceur avant la finale du festival.
Andréanne A. Malette nous a littéralement fait plonger dans son univers floral et bucolique. Là où ça sent la chaleur humanisante et les histoires ressenties. Où l’on va pour se reposer le corps et l’esprit.
Une rencontre intimiste

C’est dans son Granby qui l’a vu grandir que l’autrice-compositrice-interprète s’est livré en transparence avec notamment ses succès et de belles découvertes tirées de son dernier album : Les jardins dérangés. Un album qui offre une ouverture sur la femme qui s’est éclipsé dans la nature pour se trouver. Un exutoire pour des cœurs à panser. Pour s’ancrer dans le présent et se permettre de briller. Suivre sa trace dans la vie qui nous est offerte.
Une joie sur scène
Peu importe sur quelle scène vous pouvez voir et entendre Andréanne, c’est toujours avec une immense joie qu’elle accueille bienveillamment son public. Elle chérie chaque moment qui passe dans sa vie. Elle savoure les instants présents et nous insuffle d’en faire tout autant. Ses prestations sont des parenthèses dans nos vies débordées et nous ramènent à l’essence même de la vie. Là où il fait bon se retrouver. Au cœur de soi. Les paroles de ses chansons nous guident et sa musique nous enivre.
Andréanne est investie dans Le Festival International de la chanson de Granby. Sa présence pour la clôture de la 57ième édition était tout naturel.
Vous avez manqué le FICG? Voici l’article qui couronne le grand gagnant de la 57ième édition