Changer 10 ans en un claquement de doigts
©Disney
Par : Martial Genest
Après 10 ans d’attente et plus de 18 films, la première conclusion de la saga dans l’univers cinématographique de Marvel arrive enfin à aboutissement avec le film Avengers Infinity War, ce vendredi 27 avril.
Dans le but de m’assurer que cette critique ne contient pas de divulgâcheur, elle fut écourté pour que chacun puisse apprécier le film en entier.
Nous avons eu l’habitude d’un grand nombre de personnages dans la série des films des Avengers, mais cette fois on peut dire que nous sommes choyés. Non seulement les Avengers sont présents, mais aussi les membres de Guardians of the Galaxy et plusieurs autres. Le film ne perd pas de temps à nous plonger dans l’action et c’est le début de deux heures et vingt neuf minutes d’action, d’humour et de rebondissement, le tout bien orchestré comme un tour de montagnes russes car lorsque l’on croit que c’est terminé, il y a une autre surprise. Le tout se termine bien sûr par une scène post-générique qui donne un coup d’œil à ce que nous réserve le prochain film, quoique celui-ci soit assez bien fourni, pour les amateurs l’attente est bien récompensée.
Les interactions entre les membres des différentes franchises sont bonnes et donnent droit à des moments assez cocasses. Le visuel est à en couper le souffle, spécialement la scène de la grande bataille au Wakanda. La présence des différents héros est équitable, ce qui est très bon pour les amateurs, car peu importe qui est son personnage préféré, celui-ci aura un bon moment à l’écran. Sans oublier la présence de quelques personnages secondaires. Disney et Marvel nous ont habitués à un certain style cinématographique et le plus récent volet de la saga ne désole pas. Si vous avez aimé les précédents films, vous allez certainement apprécier celui-ci, car il contient plein de vedettes, de l’action du début à la fin, sans oublier les quelques touches d’humour, un excellent moment de divertissement avec ou sans maïs soufflé.
Note 4/5
Texte révisé par: Nabila Chabane
