Une scène principale digne des grands noms!
Une chaleur accablante
Comme le festival se tient à l’extérieur, on aurait tendance à croire que le soleil est la météo à privilégier… Lors de ces 2 jours, le mercure affichait une température ressentie de 42 degré celsius ce qui était insupportable ! ÎLESONIQ était toutefois bien organisé à ce niveau, il y avait des points d’eau partout sur le site, les agents de sécurité distribuaient de l’eau en avant-scène, et la foule était arrosée par moment avec des jets d’eau. Un plancher de danse a aussi été aménagé avec des jets d’eau sortant du plancher au rythme de la musique de la scène principale.
On aurait toutefois dit que le festival avait du mal à s’éveiller… ou du moins prenait du temps à gagner en intensité… En effet, lors de ces 2 jours, l’atmosphère trop chaude n’a probablement pas contribué à amener les festivaliers en début d’après-midi. On voyait que l’événement se remplissait graduellement aux alentours de 18 h – 19 h et même lors du spectacle des têtes d’affiche de fin de journée, nous pouvions voir qu’ÎLESONIQ n’était pas à capacité maximale…
Est-ce possible que le « line-up » du festival manquait un peu d’entrain ?
Coup de cœur #TACO
Il était possible de manger à sa faim cette année à ÎLESONIQ. Il y avait un amalgame de « foodtruck » réparti sur le site de même qu’une aire de restauration comportant un menu plus « fancy ».
Nous avons eu un coup de cœur pour les petits TACO au bœuf coréen de chez Venice. Un vrai délice !
Bacardi à l’honneur cette année, mais…
La zone Bacardi a été aménagée près de la scène principale à l’image d’un bar tropical. Bien que nous ayons apprécié l’arrangement, le choix des cocktails se limitait à 3-4 recettes… nous en aurions pris plus !
Au niveau du festival, même si ce kiosque amenait du choix aux différentes boissons pouvant être consommé sur le site, nous avons vite constaté que les différents bars sur place n’offraient que très peu de choix de boissons. Ajoutez à cela des prix exorbitants et vous comprendrez donc notre déception…
Des DJs qui attirent notre attention
Petite découverte lors de la première journée : Kasablanca. Ces 2 DJs originaires des États-Unis nous on fait vibrer avec de vieux synthétiseurs de sons amenant un effet rétro à la prestation. La synchronicité des 2 artistes lors de leurs performances était plutôt impressionnante, ils mixent de chaque côté de la scène en harmonie, ce qui donne un effet très distingué qui sort de l’ordinaire.
Lors de la deuxième journée, sur la scène Néon, une DJ du nom de Level Up (Sonya Broner) a attiré notre attention avec son style axé sur le Dubstep très électrisant. Elle s’est quant à nous démarquée par le fait que la scène Néon était survoltée comparativement aux 2 autres scènes. Lors de sa performance, on pouvait voir les festivaliers sauter et danser au rythme de ses chansons.
Pour clôturer cette deuxième journée, c’est Illénium B2B Excision qui a pu mettre le feu à la scène Oasis. Cette performance était très attendue de plusieurs personnes interrogées sur le site du festival !
Il est important de mentionner la présence de Swedish House Mafia à ÎLESONIQ cette année ! La formation est composée des 3 DJs Axwell, Steve Angelo et Sebastian Ingrosso et leur réputation n’est plus à faire dans le milieu de la musique électronique. Malgré la séparation de la formation en 2013, ils sont revenus en force en 2018 lors du 20e anniversaire de « l’ultra music festival » de Miami (UMF) et ils pourront assurément clôturer ÎLESONIQ sur une note plus que parfaite !
Pour en savoir plus : Dans la bulle de Mat
Crédit Photo : Mathieu Pedneault