Hozier et Hudson-Taylor à l’Olympia
© Page Facebook officielle, Hozier
Depuis le succès planétaire de la chanson Take Me to Church, en 2013, le nom d’Andrew Hozier n’est plus étranger pour personne, pas même les montréalais. C’est donc dans un Olympia rempli à pleine capacité que l’auteur-compositeur a présenté ses chansons hier soir, avec le duo fraternel Hudson-Taylor en première partie.
Vers 21 h 07, après un entracte aussi long que la performance du groupe en première partie, celui qui porte le nom complet d’Andrew Hozier-Byrne arrive finalement sur scène en compagnie de plusieurs musiciens et de quelques choristes et débute le spectacle avec sa nouvelle chanson Nina Cried Power, avec cette voix si unique, qu’on peut difficilement comparer à aucun autre chanteur actuel.
Tout au long du spectacle, on pouvait bien sentir que le public cible était bien majoritairement féminin. Une de ces jeunes femmes a dû d’ailleurs être escortée de la salle après avoir subi un malaise durant la chanson Cherry Wine. Bon joueur, le jeune homme de 26 ans a repris du début la chanson par la suite pour le reste du public, tout en continuant de complimenter le reste de la salle pour leur écoute active. Il est très charmeur, ce jeune homme.
Bien évidemment, c’est la chanson Take Me to Church qui a conquis la foule au complet. Tellement qu’à un certain moment, on se sentait littéralement en transe avec le groupe. Le rappel s’est terminé avec la chanson Work Song.
Des frérots charmants
« Nous sommes heureux de vous rencontrer pour la première fois, Montréal », mentionne l’ainé du duo, Harry Hudson-Taylor. En effet, les deux frérots en compagnie de leurs confrères musiciens nous ont charmés en nous présentant quelques chansons de leur premier EP, Singing for Strangers et la chanson Shoot Someone du nouvel album qui paraîtra vendredi prochain le 21 septembre. Une performance trop courte (seulement 30 minutes), mais qui nous a rapidement convaincus.
Pour connaître les prochaines dates de tournée d’Hozier, rendez-vous sur son site Internet.
Texte révisé par : Johanne Mathieu
