Anaïs et Maxim font des jaloux!
©Eric Myre
Le public a à nouveau été séduit par Anais Favron et Maxim Martin vendredi soir lors de leur gala Juste pour rire à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. De retour cette année avec un spectacle sur le péché capital de l’envie, le duo, avec l’aide une brochette d’artistes impressionnante, ont abordé avec brio l’envie sous toutes ses formes.
En guise de premier numéro, Jérémy Demay s’est mérité une ovation en faisant des blagues sur sa grandeur, en plus de comparer des expressions québécoises et françaises. Sylvain Larocque a enchaîné en abordant avec beaucoup d’autodérision son physique (« Je suis le seul à qui on demande de sourire sur sa photo de passeport »). Puis, le raconteur exceptionnel Michel Barrette a fait pleurer de rire avec ses anecdotes du temps où il avait 18 ans.
Les autres numéros mémorables furent présentés par Adib Alkhalidey (partageant son expérience avec des enfants ainsi que ses observations sur les comportements au volant), Katherine Levac (évoquant son enfance en milieu rural, son côté princesse et son désir de vivre à une autre époque) ainsi que Simon Gouache (explorant les univers des hommes et des femmes). Sans oublier les deux sketchs particulièrement réussis des coanimateurs (on en aurait d’ailleurs voulu plus puisqu’ils étaient bien écrits, biens livrés et tout simplement tordants!). Anaïs Favron et Pierre-François Legendre ont dans un premier temps interprété un couple souhaitant trouver une copine (jouée par Maxim Roy) à Maxim. Puis, il y a eu le dernier numéro de la soirée dans lequel ce dernier se fait faussement accuser d’avoir rechuté.
Il va sans dire que les ovations étaient nombreuses et méritées pour ces deux animateurs qui font l’envie de plusieurs (ils sont beaux, ils sont talentueux et ils ont une chimie qu’ils ne peuvent dissimuler!). Si vous avez manqué ce gala, consolez-vous en sachant qu’ils seront à nouveau complices cet automne, aux côtés de Dominic Arpin, dans une émission matinale sur les ondes de NRJ.
Crédit photos : Eric Myre
