Un air d’été!
Par : Mylène Groleau
Une semaine avec de tout, pour tous. Pas de jaloux, pas d’envieux. Vous ne serez pas déçu, promis. En passant par Charlotte Cardin, The Franklin Electric, Fanny Bloom, Lysandre, Olivier Faubert ainsi qu’un événement pour La Maison Adhémar-Dion.
Personne ne sera en reste.
Bonne semaine à vous tous!
Charlotte Cardin
« Je pensais que j’écrivais au sujet du chien de Mr. Hudson qui voit la vie en noir et blanc. Jay croyait plutôt qu’on abordait mes schémas de pensée obsessifs. Felix samplait par hasard The Way We Were de Barbara Streisand. Et ça a donné, malgré tout ça, une chanson qui a du sens. Ou pas? Ça y est, je loop encore. » – Charlotte Cardin.
Charlotte Cardin à la rencontre des festivaliers canadiens et français cet été
L’été sera très rempli pour Charlotte Cardin, qui sera à l’affiche d’une dizaine de festivals au Canada et en Europe. L’artiste québécoise sera notamment de passage au History de Toronto, le 8 juin, au Bluefest Festival d’Ottawa, le 14 juillet, et au Jackson Triggs Summer Series de Niagara-on-the-Lake, le 18 août.
40 dates à travers 8 pays pour la tournée 99 Nights
Les billets pour la tournée 99 Nights seront en vente aujourd’hui à compter de 10h (heure locale). Pour connaître toutes les dates et pour se procurer des billets, les fans peuvent visiter le site de l’artiste
The Franklin Electric
Le prolifique collectif indie montréalais The Franklin Electric est de retour avec un nouvel extrait et présente Warning Signs. Ce nouveau titre se retrouvera sur le prochain album du groupe, Oh Brother qui sera lancé le 30 juin prochain.
Oh Brother marquera un chapitre de vulnérabilité pour Jon Matte qui dévoilera une partie de lui qui a toujours, au fil des années, balayé sous le tapis.
Si le titre adresse le sujet, l’auteur-compositeur-interprète espère que son témoignage en musique et en mots saura accompagner ceux qui vivent des sentiments similaires.
Avec des paroles sincères et mélodieuses, The Franklin Electric a créé une chanson qui capture l’esprit du temps présent et raconte une histoire touchante de la vie quotidienne. Les harmonies vocales du groupe et les instruments acoustiques créent une ambiance chaleureuse et réconfortante qui est devenue la marque de fabrique du groupe.
«Warning Signs c’est souligner les signes que nous envoie la vie et les moments du quotient. Que ce soit un sentiment, une circonstance ou une situation qui se répète, parfois l’univers essaie de nous dire quelque chose. Il faut souvent confiance à ces signes et permettre le changement au lieu de les ignorer et de résister au changement» explique Jon Matte.
Cette nouvelle chanson arrive quelques semaine après les plus récents extraits Makes No Mistake et Call Me. Le groupe est connu de musique authentique et intemporelle se rapprochant des hymnes qui résonne avec un large public.
Leurs concerts sont souvent décrits comme des moments magiques et inoubliables, où le public se laisse emporter par les mélodies envoûtantes et les paroles poétiques. The Franklin Electric entreprendra d’ailleurs sous peu une grande tournée québécoise.
Lysandre
Lysandre a réalisé pour la première fois ses propres chansons, avec l’aide de Thierry Malépart (Choses Sauvages) et des musiciens Samuel Gougoux, Étienne Dupré et Cédric Martel.
Elle a également collaboré avec l’auteur-compositeur-
Pour Perdue pour autrefois, la prise de son a été faite par Jean-Bruno Pinard au Greenroom, le mix par Valentin Ignat et le mastering par Francis Ledoux.
Pour Peur en cire, Thierry Malépart et Blaise Borboën-Léonard ont fait la prise de son au Makina, le mix a été confié à Pierre Girard et le mastering à Marc Thériault.
À la suite de son album Sans oublier, sorti il y a un an chez Chivi Chivi, l’autrice-compositrice-
Couronnée Révélation Radio-Canada en chanson en 2022-2023, Lysandre a récolté plusieurs nominations, notamment à l’ADISQ, aux GAMIQ et pour le prix Félix-Leclerc. Sa musique se déploie autant en solo qu’auprès d’amis fidèles (Klô Pelgag, Helena Deland, Ping Pong Go).
En phase avec le printemps qui nous redonne, une nouvelle fois, les premiers espoirs d’un été sur le point d’éclore, Lysandre explore de manière nostalgique les choses qui nous quittent et reviennent à perpétuité.
«Comme le cycle des saisons, Les heures innocentes sont des heures où je réfléchis et apprivoise ces changements», exprime l’artiste. «Les heures innocentes sont finalement des lieux d’exploration et d’approfondissement d’idées spontanées et sincères, où prendre des risques ne constitue aucune arme et où l’envie est à la découverte et à la création de paysages nouveaux» poursuit elle.
La deuxième moitié des séries Les heures innocentes apprivoise le sentiment de la peur dans tout ce qu’elle représente et cette volonté de la vaincre.
Si la première série s’appariait au printemps, celle-ci s’approvisionne dans l’été, la chaleur et la liberté totale de se définir ailleurs que dans nos vertiges.
«J’ai voulu sublimer l’idée de la peur, autant celle que je vis parfois que celle que je constate autour de moi, planante et inexplicable.» précise-t-elle.
Perdue pour autrefois se veut une tentative de consolation offerte à quiconque se retrouve dans une solitude désarmante, illustrée par Katerine Dennie-Marcoux dans une vidéo d’animation rêveuse.
Peur en cire quant à elle, démystifie la peur du risque d’une promesse après une rencontre marquante.
Olivier Faubert
Olivier Faubert est de retour avec le single Perséides, premier extrait dévoilé d’un premier album à paraître prochainement.
La chanson raconte, à l’aide d’images et de symboles, l’histoire d’un couple sur le bord de la séparation. L’énergie et le rythme du morceau rappelle le caractère incessant des pensées qui nous envahissent quand on a peur de perdre quelque chose.
Perséides est le fruit d’une collaboration entre Olivier Faubert, Benoit Massé et Julyan (The Seasons).
Les arrangements indie rock ont été imaginés par Olivier Faubert et Dominique Plante , qui signe la réalisation.
Enregistré au studio Makina à Montréal, on y retrouve Olivier Beaulieu à la batterie, Sam Beaulé à la basse, Eliott Durocher-Bundock à la guitare et Mathieu Quenneville au claviers et synthétiseurs.
Le groupe a su apporter une énergie et un rythme soutenu qui rappelle les Archie, Marry Me et Pharmacist du groupe Alvvays.
Fanny Bloom
Fanny Bloom offre Han han comme avant, le deuxième extrait de son prochain album à paraître le 6 octobre, un premier album de chansons originales depuis Liqueur, sorti en 2018.
Après le premier simple C’est toujours comme ça, c’est magique, Fanny Bloom renchérit avec Han han comme avant qui confirme la présence de nombreux vers d’oreilles sur le prochain album qui sera lancé le 10 novembre lors d’un spectacle-lancement dans le cadre de Coup de cœur francophone.
La pièce musicale est née simplement au piano, mais, emportés par un grand délire de studio, FannyBbloom et Thomas Hébert ont catapulté la chanson dans une tout autre dimension:
«C’était ça, ou elle ne faisait pas l’album, explique l’autrice-compositrice-interprète. Au point de rupture, quand nous n’étions plus certains de l’aimer, quelque chose est arrivé, les morceaux de casse-tête se sont simplement emboîtés, et nous nous sommes sentis libres de la faire vivre dans cette émotion aliénante et magnétique, quelque part entre l’euphorie et le mal de mer.»
Avant qu’une musique enlevante s’empare du morceau, doucement, Fanny Bloom installe l’histoire d’une personne incapable de se laisser emporter par la même fièvre que les autres.
La Maison Adhémar-Dion
Cet été, il y a plusieurs façons d’appuyer La Maison Adhémar-Dion et de soutenir ses activités, que ce soit en musique, sur un terrain de golf ou en participant à un encan virtuel.
SPECTACLE-BÉNÉFICE
La deuxième édition du spectacle-bénéfice de La Maison Adhémar-Dion, ayant pour titre cette année Le plus beau voyage, sera présentée le 10 juillet au Théâtre Lionel-Groulx, à Sainte-Thérèse.
Sous la direction de Chantal Lépine, productrice déléguée, de Maxime Charbonneau, directeur artistique, et de Marilyn Laroche, productrice exécutive, cette soirée promet de faire vivre à l’auditoire une vaste gamme d’émotions grâce à la présence d’artistes parmi les plus aimés du public : Christian Marc Gendron, David Latulippe (Starmania), Jeanick Fournier, Jean-Marc Parent, Laurence Jalbert, Lynda Lemay, Marc Dupré, Margau (The Voice – France), Marie Denise Pelletier, StringKatz et les musiciens Hubert Tremblay, Jean-Baptiste Kepler et Samuel Léonard, sous la direction musicale de Christian Alary.
La porte-parole de La Maison Adhémar-Dion, Claudette Dion, sera bien sûr de la partie pour offrir des chansons au public… avec quelques artistes surprises.
Un rendez-vous à ne pas manquer! Les billets sont en vente sur le site d’Odyscène.
TOURNOI DE GOLF
Pour les amoureux des verts, La Maison Adhémar-Dion tiendra son tournoi de golf annuel au Club de golf de Joliette, le 15 août.
Une belle occasion de contribuer à un événement-bénéfice tout en perfectionnant ses coups roulés et en échangeant avec ses collègues et partenaires d’affaires. Détails : lamaisonadhemardion.ca/
ENCAN VIRTUEL
Soucieuse d’offrir des activités de collecte de fonds variées, La Maison Adhémar-Dion organisera un encan virtuel du 1er au 15 août.
Des lots très attrayants seront proposés dans différentes catégories : il y en aura pour tous les goûts et pour tous les budgets.
Les profits seront versés entièrement à La Maison Adhémar-Dion et serviront à offrir des soins et des services gratuits de qualité. Détails : lamaisonadhemardion.ca/
À PROPOS DE LA MAISON ADHÉMAR-DION
La Maison Adhémar-Dion a ouvert ses portes en 2010 et dessert la population de Lanaudière.
Située dans un lieu champêtre, le long de la rivière des Mille-Îles à Terrebonne, l’établissement peut recevoir simultanément, dans une ambiance familiale, 12 personnes adultes ayant une espérance de vie de moins de trois mois.
Les résidents sont traités avec un profond respect et bénéficient de soins palliatifs de qualité.
Renseignements : https://lamaisonadhemardion.
POURQUOI « LA MAISON ADHÉMAR-DION »?
La désignation La Maison Adhémar-Dion fait référence au nom du père de la chanteuse Céline Dion, qui a habité dans la région de Terrebonne avec son épouse et ses 14 enfants.
Elle reflète les valeurs que souhaite véhiculer La Maison, soit le respect, la convivialité, une approche familiale et humaine, ainsi qu’un engagement au sein de la communauté.
Avec ce nom viennent un certain prestige et une fierté pour l’ensemble des employés, des bénévoles, des résidents, des partenaires et des donateurs. Toutefois, comme tout organisme sans but lucratif dont le fonctionnement repose sur la générosité des donateurs, et contrairement à la croyance populaire, La Maison doit relever le défi de recueillir chaque année 1,7 M$ afin d’assurer la gratuité des services qu’elle offre.
DONNER DÈS MAINTENANT
Vous ne pouvez assister à l’une de ces activités, appuyez La Maison Adhémar-Dion d’une autre façon.
Visiter la section DONNER de son site web ou consulter le guide du donateur pour en savoir plus sur les différentes façons de donner.