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Visionnement: Love Hurts

Se cacher n’est pas vivre

©Universal – Love Hurts

Par : Martial Genest

Love Hurts, le film, arrive ce vendredi au cinéma près de chez vous. Tout comme le film Violent Night du même producteur, une fête tourne à la violence sans limites très vite. Le tout sous la  direction de Jonathan Eusebio.

Synopsis

Marvin Gable est un agent d’immeuble qui aime son travail et cela se voit. Le jour de la Saint-Valentin, il reçoit une carte l’informant que personne qu’il croyait disparue à tout jamais revenait dans sa vie. C’est alors que le passé de Marvin le rattrape, et l’agent d’immeuble retrouve vite ses capacités qu’il avait réussi à cacher.

Violence et comédie

La recette est bien connue et exploitée, le producteur de Nobody et Violent Night, nous l’offre à nouveau avec Love Hurts. Si vous avez aimé les films précédents, vous savez à quoi vous attendre. Violence ridicule, humour souvent noir. La recette parfaite pour un film où on oublie tout, car le bon sens a pris congé dès les premières minutes de celui-ci.

l’amour

L’amour avec un grand A est présenté dans ce film sous plusieurs aspects. Que ce soit l’amour de soi ou l’amour fraternel. Il y a aussi l’amour d’autrui et l’amour entre êtres très différents, qui trouvent un point en commun. Sans oublier l’amour de la violence.

Note finale

Love Hurts, on aime ou on n’aime pas. Pour ma part, je savais à quoi m’attendre et ce film ne m’a pas déçu. Il démontre aussi qu’un film n’a pas besoin d’être de plusieurs heures pour être divertissant. Les couples formé de Ke Huy Quan, Ariana DeBose, Mustafa Shakir et Lio Tipton sont magnifiques, chacun à leur façon. De plus, la présence de Drew Scott des Property Brothers en agent d’immeuble Jeff Zaks est une belle addition.

Note: 3/5