Comme un bon vin
Par : Martial Genest
God of War Ragnarök est enfin arrivé le 8 novembre dernier. Depuis l’annonce que les critiques de jeu avaient obtenu leur copie, plusieurs personnes m’ont demandé mon opinion. Quoique l’Internet était déjà inondé de vidéo dévoilant plusieurs aspects du jeu, je vous ai demandé d’attendre, la voici donc.
Une suite bien construite
Il arrive trop souvent que les attentes soient très hautes, lors du second opus. Pour celui-ci, la transition est réussie. avant même de débuter, il est possible de visualiser ce qui s’est produit lors de God of War. Tout comme dans le premier, la mythologie Norse est très présente. Le jeu comporte bien beaucoup de combats, mais c’est le scénario qui remporte la palme pour celui-ci. Non seulement, les échanges entre Kratos et Altreus sont riches en contenu, et contrairement à plusieurs jeux, celles-ci ne sont pas répétitives. Le détail visuel est aussi d’une excellente qualité, non seulement Altreus est-il maintenant un jeune adolescent, mais Kratos a lui aussi vieilli, et cela paraît beaucoup dans ses rides.
Interprétation ou réalité?
Selon la mythologie Norse, Ragnarök se traduit en crépuscule des dieux. Le tout est une série d’événements amenant la destruction de plusieurs dieux, de la Terre et de ses habitants. Selon la légende, une grande bataille aurait lieu causant ainsi la mort de plusieurs dieux, incluant Odin. Alors qu’Altreus cherche des réponses sur qui il est? qui est Loki? Et où est Tyr et est-il toujours vivant? Est-ce qu’il cause Ragnarök par ses actions, ou est-ce simplement sa destinée?
Note finale
Pour les fins de tests, l’évaluation du jeu fut faite sur Playstation 5. La copie du jeu est une gracieuseté de Sony Interactive Entertainment. Le jeu est disponible exclusivement pour les consoles PS5 et PS4, et ce depuis le 8 novembre. J’avais bien aimé God of War, quoique j’aie eu un peu d’appréhension pour God of War Ragnarök, mais Santa Monica Studio a bien livré, de plus, les bandes-annonces n’étaient pas simplement de la poudre aux yeux.
Note 8.5/10